•  

     

    Je m'appelle Jennifer. Je suis une Fille en rechercheà la recherche d'une expérience dans les missions du Service Porno.
    Mes passions sont la lecture de Mangas, dessiner, jouer et écouter de la musique, passer de bon moments avec ma sœur Cricri200°. Mon permis B est en cours.
    Je suis quelqu'un de travailleuse, autonome, sérieuse et toujours disponible.

     


    Je marche jusque chez-moi, toute excitée du projet de la soirée. Je crois que JOUIBRULANCE me défoncera comme j’aime. Je l’ai bien excité et j’ai hâte de sentir sa bite pousser sur mon anus pour le forcer à s’ouvrir et ainsi infiltrer le pardon en moi.


    Je me demande s’il a une grosse queue? J’espère qu’il n’a pas un petite bite toute rabougrie que je sentirai à peine dans mes trous. J’aime les grosses bites. J’aime les sentir écarter et distendre mes orifices pour ensuite, me ravager sauvagement les canaux.


    Une fois rentrée, je congédie. J’aurais bien aimé sucer JOUIBRULANCE avant qu’il ne quitte, mais il était pressé.  J’aurais bien aimé avoir ma dose de foutre, mais je devrai patienter jusqu’à ce soir et m’abreuver . Enfin, j’espère…


    Je prends un long bain chaud et je m’habille sensiblement de la même manière que cet après-midi, la jupe noire, toujours sans culotte mais je change le chemisier par un t-shirt rouge, ajusté et j’oublie le soutient-gorge. Ma poitrine se tient bien toute seule et ça plaira sûrement à JOUIBRULANCE.


    J’arrive à 18:55h. C’est un bâtiment assez vieux mais très bien conservé. Je sonne à la porte et j’attends, fébrile, qu’on vienne m’ouvrir.


    C'est moi, ,il m’accueille avec un large sourire. , très charmant et toujours jovial.


    — Eh bien! Regardez donc qui voilà!

    — Bonjour!

    — Bonjour ma belle joviale ! Allez, allez, entre!


    On se fait la bise. Il se recule en me tenant par les mains :


    — Comment vas-tu? Tu es toujours aussi jolie! Et comment va la belle petite sœur Cricri200°.?

    — Je vais bien et ma sœur Cricri200°. aussi.

    — Bien, bien! Tu viens voir ?

    — Oui, tu m’as demandé de passer . Quelques questions à régler.

    — Rien de grave, j’espère?

    — Non rassurez-moi, tout va bien avec ta sœur Cricri200°.!

    —Ma sœur Cricri200°. Il est bizarre JOUIBRULANCE ce soir…

     

    Tu parles! Il a hâte de me sauter aussi, oui!


     

    il semble tendu ou préoccupé… je ne sais trop.

    Il a peut-être des soucis. J’espère qu’il ira mieux après ma visite. Parfois, parler et se détendre avec des personnes plus jeunes, ça change un peu la routine.

    J'ai bien raison. Il n’a que moi à qui parler de toute la journée, une jeune perverse!

     

    Je sais bien, va! Je le taquine! Il arrive.


     une érection! Il est d’une stature imposante.


     

    Oh oui, ! Je serai dans ta chambre, si t'as besoin de moi.

     


    en me faisant un clin d’œil.


     Tâche de lui rendre sa bonne humeur!


    Il me rend son clin d’œil :


    J’essaierai! Bonne soirée!


     Aussitôt ,JOUIBRULANCE devant moi, prend mon sein gauche dans sa grande main et le malaxe et le tripote avec vigueur.


    — Tu sais que tu m’as excité cet après-midi, petite salope?

    — Ah oui?

    — Tu le sais très bien…

    — Ce n’étais pas mon intention…


    Je le regarde avec des yeux "pleins de remords". Je joue le jeu de la jeune innocente.


    — Dis-moi, tu t’es touchée depuis cet après-midi? Tu as eu des pensées impures?

    — Oui, JOUIBRULANCE… dans le cite ekla...… J’imaginais ton pénis entre mes fesses… dans mon petit trou.

    — Je vois. Tu as péché encore une fois. Je devrai te punir.

    — La fessée, JOUIBRULANCE...?

    — Oui, une bonne fessée. Tu as été vilaine avec moi, en ce cite ekla...


    Il remonte brusquement mon t-shirt jusque sous mon menton et malaxe maintenant mes deux obus dénudés. Je le regarde droit dans les yeux. Je lèche mes lèvres. Il est vraiment très excité. Il respire de plus en plus fort.


    — Oui, je suis une vilaine petite fille. Tu l'as dit, cet après-midi, que tu allais devoir purifier mon cul…

     

    C’est avec ta bite que va aller purifier mon cul?

    — Tu aimes te faire enculer n’est-ce pas, petite cochonne?


    Je commence à être sérieusement excitée. Ma chatte s’humidifie.


    — Oui JOUIBRULANCE, beaucoup.

    — Dis-le moi. Je veux t’entendre dire que tu aimes te faire défoncer le cul.

     

    —  Je relève ma jupe et dis-moi que tu aimes et tu vas m'enculer.


    Tout doucement, en le regardant dans les yeux, je relève ma jupe, pendant qu’il manipule toujours mes gros nichons. Il leur donne des claques. Mes tétons sont désormais bien dressés Sa respiration est haletante. La mienne s’accélère. Je lui dis, en gémissant doucement :


    — J’aime me faire enculer. J’adore sentir une grosse bite défoncer mon petit cul. Tu vas bien défoncer mon cul, JOUIBRULANCE? Pour me purifier… S’il-vous-plaît?

    — Tu l’auras petite pute, tu l’auras. Tu demanderas pardon…


    Je gémis toujours doucement, en respirant de plus en plus fort.


    — Et ta bite… il est dur en ce moment? Il faudra qu’il soit bien dur pour m’enculer…

    — Tu crois qu’il n'est pas dur?

    — Eh bien, quand tu touches les seins et les fesses,de ma petite sœur Cricri200°.ton pénis devient tout dur et très gros, JOUIBRULANCE. Et ensuite, tu défonce son petit cul bien fort. Et j’adorai ça aussi JOUIBRULANCE, toi qui aime bien nous prendre par le cul.

    — Tu aimes les gros pénis? Les grosses bites dans ton petit cul toi aussi...?

    — Plus elle sont grosses, plus je les aime. Elle est grosse ta queue, JOUIBRULANCE...?

    — Tu seras servie, petite chienne…


    Son dernier indice, m’indique qu’il est bien monté, question bite. Il me retourne face au mur et me force à m’y coller. Est-ce qu’il va m’enculer ici? L’excitation monte. Il me parle à l’oreille en respirant très fort.


    — Relève ton cul… Écarte les cuisses… Je vais détruire ton cul, petite salope.


    J’obéis. Une de ses mains palpe mes fesses, l’autre masse toujours mes nichons. Il pince mes tétons qui sont bien dur et bien dressés. Ses doigts s’insèrent dans ma raie et caressent mon trou du cul avant de descendre à ma chatte déjà trempée. Il les remonte à mon trou du cul pour le lubrifier de ma mouille. Je gémis plus fort. Soudain, un bruit ...


    — Tout va bien JOUIBRULANCE...?

    — Oui, oui, Cricri200°...


    On l’entend refermer la porte.


     


    Haletante, je rebaisse ma jupe et mon t-shirt et suis JOUIBRULANCE...dans un petit salon, bien aménagé. Mon visage s’éclaire d’un sourire cochon.


    Nu, assis sur un canapé et astiquant son magnifique manche, se trouve…


    —ma sœur Cricri200°. ?

    — Bonsoir, petite salope. 

    - Ah ! Cricri200° ! Tu… tu es là ? zozota-t-elle.
     - Oui, tu vois… ?
     - Ben, ouais… Pourquoi t'es là ?

     Cricri200° portait une jolie culotte de tissu délicat. A travers, on devinait des poils pubiens coupés court. Je la regardai baisser le sous-vêtement, avec la concentration qu’on imagine, quand elle s’effraya soudain. Elle voulut reculer. Mais ses longues jambes empêtrées dans la culotte, elle tomba à la renverse, étendue de tout son long.

    …elle tout à trac, carrément livide.
     - A moins que les circonstances ne m’y obligent, répliquai-je, un peu gêné.

     Satisfait de l’aubaine, il matait Cricri200°  de ses petits yeux vicieux. Celle-ci peinait à se relever, sans rien pouvoir dissimuler de son intimité.Ce sal type de JOUIBRULANCE me souriait, d’un air complice. Je ne semblais pas le gêner beaucoup. Au contraire !
     … Cricri200° était d’une pâleur extravagante. Soudain, elle se mit à flageoler.


     


    Suite bientôt...

     

    aucun commentaire
  • aucun commentaire
  • Ma vision des choses est sûrement loin de la vôtre mais je ne suis qu'une fanatique des dragons, des pokémon, et surtout des ABSOL!!! (mais pas que x)
    Vous voulez l'histoire de ce dragon? Et bien allez la lire sur l'histoire de Draniolon^^! (promis, vous allez pas être déçu du voyage ;D!)
    Avatar: Draniolon lui-même :3


    Draniolon, les yeux toujours bandés, gémit. Elle qui d’habitude est un brin réservée, ça m’excite beaucoup de l’entendre respirer très fort sous les coups de langue, que je sais habile, JOUIBRULANCE. Une pensée traverse mon esprit : c’est une chance que je ne me sois pas parfumée!


    — Oui, c’est bon JOUIBRULANCE, continue.

    — Tu aimes quand je bouffe ta chatte? Lui demande-t-il en relevant la tête. Draniolon grogne de plaisir.


    Et JOUIBRULANCE se rend compte de ma présence.


    De voir ses yeux écarquillés, m’a presque fait éclatée de rire. Je mets mon doigt sur mes lèvres pour lui signifier de ne pas faire de bruit.


    Il s’agenouille entre les cuisses ouvertes de Draniolon et lui caresse la chatte d’une main et de l’autre, il me fait de grands signes de foutre le camp! La situation est comique, mais tellement excitante!


    Je m’agenouille derrière lui et je colle mes gros nichons dans son dos. Sa peau est très chaude. Mes mains caressent sa poitrine et je lui lèche le cou. Je sens ses mamelons pointés. Je crois que ça l’excite malgré tout. Moi, je suis vraiment excitée.

    Je murmure très doucement à son oreille.


    — Je suis ta petite salope. Je veux que tu me baises maintenant…


    Il ne peut répondre, mais je sens sa respiration s’accélérer lorsque je descend ma main à sa grosse queue bien bandée. Je le masturbe tout en faisant bien attention de ne pas toucher aux cuisses ouvertes Draniolon, qui sont tout près. Il continue toujours de doigter Draniolon qui ne se doute d’absolument rien. C’est vraiment très très excitant!


    Tout doucement, il se place à quatre pattes, les jambes bien écartées, pour bouffer sa chatte. Je vais me placer derrière lui, assise sur mes talons et rattrape sa grosse queue que je manie tel un pis de vache qui se fait traire.


    Ses grosse couilles s’offrent à moi. Elles sont belles et bien douces. Je les lèche pendant que je le masturbe. Son cul valse sous mes caresses habiles. Je remonte ma langue jusqu’à son anus que je lèche doucement. Tout doucement, j’y enfonce ma langue et je l’encule littéralement tout en branlant sa grosse bite bien dure.


    Après lui avoir bouffé le cul pendant un moment, j’approche un de mes gros nichons dont le téton est bien pointé et je caresse son trou du cul. Je suis si excitée que j’aurais envie de m’asseoir sur le visage de Draniolon et de me faire bouffer la chatte et le cul.


    Elle me sort de ma rêverie.

     

    — Prends-moi JOUIBRULANCE maintenant!! Je veux ta queue!

    — Place toi à quatre pattes, je veux encore bouffer ta chatte, ensuite, je te bourrerai.


    Elle obéit. Son cul est bien haut, ses cuisses bien écartées, sa tête, dont les yeux sont toujours bandés, est bien au sol. Cette vision est très excitante. Le beau cul de Draniolon en bien ouvert devant moi. Que j’aurais envie d’y enfoncer ma langue et de claquer ses grosses fesses bien rondes!


    JOUIBRULANCE s’agenouille derrière Draniolon et caresse et claque les fesses qui sont devant lui. Il agrippe par le bras en me forçant à m’agenouiller face à lui et il enfonce sa langue dans ma bouche. La mienne fouille sa bouche pendant qu’il caresse mes fesses de sa main libre.


    Il me murmure très doucement à l’oreille :


    — Tu n’es qu’une petite salope… Défonces-toi sur ma queue petite pute…


    Disant cela, il se couche sur le dos, la tête entre les cuisses ouvertes de Draniolon et son corps vers moi. Des ses pouces, il écarte bien la chatte dégoulinante et je vois sa langue lécher le clitoris et ensuite, s’enfoncer bien loin dans le vagin humide. Je m’imagine en train de lécher l’anus ouvert de Draniolon pendant qu’il la fourre avec sa langue.


    Mais j’ai d’autres projets. Il y a cette belle grosse queue qui m’appelle. Je l’ai toute à moi. Je suis déjà agenouillée tout près de cette bite qui m’a déjà ravagé tous les trous et je suis excitée par les saloperies qu’il vient de me dire.


    Je l’empoigne avec ma petite main et je la branle vigoureusement. Je vois ses grosse couilles remonter, par la peau étirée quand ma main arrive près du gland pour ensuite redescendre et libérer nettement et complètement la tête de ce formidable manche.


    Je descend ma main une dernière fois et je maintiens la tension vers le bas et de mes deux mains, je serre autant que je peux le bas de la queue pour faire rougir le gland et faire ressortir les veines tout le long du manche.


    J’approche ma bouche ouverte et je force le méat du bout de ma langue. Je lèche le petit trou et tente d’y faire pénétrer mon organe. Je caresse le pourtour du gland avec ma langue habile et je sais que ça l’excite beaucoup et combien il doit se retenir pour ne pas gémir. Je lèche tout la longueur de la bite en laissant beaucoup de salive.


    J’enfonce sa queue dans ma bouche et je suce comme une déchaînée. JOUIBRULANCE bouffe toujours la moule ouverte de Draniolon et je regarde tout en suçant. Ça m’excite.


    Je lâche l’emprise sur la grosse bite toute rougie et je m’installe à genoux au dessus d’elle. Je la prend et dirigée par ma main, j’en frotte le gland sur ma chatte qui coule littéralement.


    JOUIBRULANCE donne un coup de bassin vers le haut pour m’encourager à m’empaler. On ne me la fait pas deux fois! Je laisse glisser le gros membre brûlant dans ma chatte en feu et je me fais aller.


    Je connais déjà la sensation d’avoir cette bite en moi, mais de l’avoir bien profond, en ce moment interdit et en le voyant bouffer une chatte, c’est la chose la plus excitante que j’ai jamais faite. Ma main descend instinctivement à mon clitoris et je le maltraite en me mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper un seul petit son.


    JOUIBRULANCE aussi est excité, car la chatte de Draniolon passe un mauvais quart d’heure! Sa longue langue la fouille de fond en comble. La mouille coule sur son menton.


    — Oh oui JOUIBRULANCE!! C’est bon! Comme tu es cochon ce soir! Bouffe moi encore!


    Je sors la queue de ma chatte et je la laisse glisser à mon trou du cul qui est déjà bien humidifié par ma mouille qui a coulé. Je pousse doucement et une fois le gland engagé, j’y vais franchement. Je m’encule en me caressant la chatte.


    JOUIBRULANCE écarte les fesses de Draniolon pour que je puisse voir son trou du cul qui s’ouvre. Le cochon, il sait que j’aimerais y enfoncer ma langue.


    — Je veux ta bite JOUIBRULANCE! Tout de suite!

    — Oh oui, Cchonne!!!!


    Le "Cchnne!!" s’adresse plus à moi qu’à Draniolon , du fait qu’il m’a regardé en le disant. Et moi, je l’ai regardé en passant la langue sur mes lèvres en faisant oui de la tête. Je descend de ma monture pour le laisser se placer pour baiser Draniolon. C’est elle qui dirige, qu’on le veuille ou non!


    Il s’agenouille derrière ce cul ouvert et m’indique d’aller derrière lui. Il prend mon bras et le descend entre ses cuisses par derrière. Je sais ce qu’il veut!


    En passant ma tête sur le côté de sa hanche, je peux voir ma main qui empoigne la grosse bite et avec le gland, je caresse de haut en bas, les lèvres ouvertes de la chatte de Draniolon . Je donne même quelques bons coups de gland sur son trou du cul.

    Draniolon est excitée. Son cul bouge en tous sens.


    — Fourre moi!! Fourre ta cochonne!


    Je retire ma main de la queue et elle s’enfonce dans la grotte bouillante. JOUIBRULANCE gémit. Draniolon croit que c’est seulement la chaleur et l’étroitesse de sa chatte qui fait cet effet à JOUIBRULANCE. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que sa Petite Cousine, petite salope... malaxe vigoureusement les couilles de son fouteur! Je ne me suis jamais sentie aussi salope que maintenant!


    JOUIBRULANCE baise Draniolon de plus en plus fort. Il grogne comme quand il m’encule. Je me lève et avec ma langue, je lèche la mouille deDraniolon  sur le menton de JOUIBRULANCE. Quoi de plus excitant?


    Je lui offre mes gros nichons à bouffer. Il s’en donne à cœur joie. Sa main descend à mes fesses qu’il écarte de ses doigts pour caresser mon anus et y en enfoncer un.


    J’aimerais me pencher devant lui pour qu’il me bouffe le cul, mais c’est trop risqué de tomber ou de toucher Draniolon par inadvertance et ainsi, dévoiler ma présence.


    Il bouffe mes nichons, m’encule d’un doigt, il défonce une chatte et donne de bonnes claques sur le cul de Draniolon, qui couine comme une truie. Il est au comble du bonheur. Je peux l’entendre par ses grognements de mâle en rut.


    Suite bientôt..

     

    aucun commentaire
  •  

     

    salut à tous !
    bienvenue dans mon monde de gamer!
    mes blogs:
    -le monde de Boudnou est mon blog principal, où je parle surtout J’adore lorsqu'il décrit en des mots cochonne… Et je lui dit que je suis cochonne, ça m’excite.
    -vidéo games est un blog où je parle de jeux vidéos
    n'hésitez pas à allez le découvrir
    merci beaucoup ^^


     


    — Ben j’sais pas trop boudnou… T’as juste l’air d’être cochonne…

    — Tu trouves que j’ai l’air d’être cochonne?

    — Oui, vraiment!!

    — Pourquoi?

    — Ton visage, ton regard, ta bouche, ta langue qui lèche tes lèvres de temps en temps…

    — Vraiment?

    — Oh oui!! Et puis, tes… gros seins. Tes fesses rondes…


    Là, ma main frotte mon clitoris et je gémis… Je vais jouir!


    — Je savais pas que tu aimais mes gros nichons et mon cul!

    — Oh oui!! À chaque fois que je te vois, je ne peux m’empêcher de les regarder…

    — Mmmm…

    — Tu aimes que je te dise ça?

    — Oui, vraiment!!


    J’enfonce 2 doigts dans ma chatte qui dégouline. J’entends le clapotis avec le vat-et vient de ma main. Je coule littéralement. Mon clavier va être tout trempé!


    — C’est vrai?

    — Oh oui, si tu savais!

    —boudnou, tu sais que tu commences à m’exciter toi?

    — Toi aussi, tu m’excite…

    — Moi?

     

    — Oui… Vraiment beaucoup…

    — Ah bon… Et là, tu fais quoi?


    Ça va y être! On va entrer dans les détails. boudnou est une salope! Tu savais?


    — Je me touche…

    — C’est vrai?

    — Oui!!!

    — Wow! Tu es mouillée?

    — Oui! Vraiment beaucoup!

    — Et ta chatte… elle est épilée?

    — Oui.. complètement…

    — Ouf!

    — Tu aimes les chattes épilées?

    — J’adore!


    Là, je deviens très cochonne. Je vais lui dire tout ce qui me passe par la tête.


    — Tu aimes bouffer des chattes JOUIBRULANCE ?

    — Oh oui! J’adore bouffer de petites chattes bien lisses.

    — Mmmm… Ça m’excite…

    — J’adore aussi bouffer des culs…

    — C’est vrai?

    — Oh oui!!

    — Et tu boufferais mon cul?

    — …

    — Dis-moi, tu boufferais mon petit cul?

    — Petite cochonne…

    — Dis-le moi!

    — Oui, je le boufferais ton cul petite salope!

    — Mmmmm…


    Je jouis!! Je suis venue très fort en écoutant ce qu’il viens de dire.


    — Tu me fais bander très fort, tu sais…

    — Sors ta queue JOUIBRULANCE et branle toi…

    — C’est fait depuis que j’ai commencé à te parler tantôt…

    — Tu te branle depuis tout à l’heure?

    — Je me caresse doucement. Tu m’as toujours fait de l’effet…

    — Vrai?

    — Vrai…

    — Elle est grosse ta queue?

     

     Mmmmm… J’adore!

    — Tu aimerais la sucer?

    — Oh oui!!

    — Cochonne!

    — Je te ferais la meilleure pipe de ta vie!

    — Vraiment?

    — Oh oui! J’adore sucer. Je suce comme une déesse à ce qu’on m’a dit!

    — J’aimerais te voir à genoux devant moi avec ma queue dans ta bouche…

    — Viens me voir…

    — Non… il ne faut pas…

    — Allez, juste un peu…


    Le piège va se refermer bientôt…


    — Non! On arrête tout ça!

    — Tu as déjà imaginé me sauter?

    — Arrête!

    — Je suis à quatre pattes devant toi, mon cul est bien haut. Tu es derrière moi et tu enfonce ta grosse bite dans ma chatte en feu.

    — Mmmmm… Oui, ce serait bon…

    — Tu me tiens par les hanches et tu me défonces bien fort…

    — Oui…

    — Mes gros nichons se balancent. Ton bassin claque sur mon cul…

    — Oui, je te lime bien. Tu aimes?

    — J’adore! Je caresse mon clitoris pendant que tu m’enfile…

    — Cochonne…

    — Oui, je suis cochonne… tu aimes?

    — Oh oui!!

    — Tu aimerais m’enculer?

    — Je peux?

    — J’adore me faire enculer…

    — Tu es vraiment cochonne dis-donc!

    — T’as pas idée à quel point je suis cochonne...


    Là, je vais lui sortir mes fantasmes par rapport à lui et il viendra me sauter et me défoncer en moins de deux!


    — Qu’est-ce que tu aimes faire?

    — Tout!

    — Des détails?


    Ça y est, nous y sommes!


    — J’adore m’imaginer que tu me prennes en levrette, bien fort, pendant que je bouffe une chatte ouverte devant moi.

    — Mmmmm… Tu m’excite petite cochonne…

    — Souvent, quand je me fais limer la chatte par une grosse bite, je me gode le cul en même temps.

    — Continue…

    — Quand je me masturbe, je m’imagine à genoux devant toi. Je te suce jusqu’à ce que tu gicles dans ma bouche. Ensuite, j’échange ton foutre chaud avec une fille en l’embrassant pendant que je continue de te branler.

    — Ouf!!!

    — Tu aimerais me voir le faire?

    — Oh oui, vraiment!

    — Tu aimerais te masturber entre mes gros nichons et jouir sur mon visage?

    — J’adorerais voir ton visage plein de foutre…

    — Tu viens me faire un câlin JOUIBRULANCE?

    — Là, maintenant?

    — Oui!! Je veux te montrer comme je suis cochonne…

    — Non, il ne faut pas…

    — J’ai envie de toi… je veux que tu viennes me sauter, tout de suite!

    — Arrête!

    — Je veux que tu viennes défoncer ta petite salope de boudnou…

    — Non!

    — Je vais sucer ta grosse bite comme jamais elle n’a été sucée… Tu pourras remplir ma bouche de foutre…

    — Quelle petite cochonne tu es!!

    — Pas cochonne… salope! Tu aimes les salopes?

    — Oh oui! Ma queue va exploser, petite garce!

    — Viens ici, je vais te vidanger. Tu pourras me défoncer autant que tu voudras. J’en redemanderai.

    — Petite salope!

    — Viens me voir JOUIBRULANCE!!

    — Petite pute! J’arrive!


    Et voilà le travail!! Comme il demeure à environ 10 minutes de chez-moi, j’ai le temps de me préparer.


    Je retire complètement ma robe, je me dirige vers le salon où se trouve la porte d’entrée. Je m’installe à quatre pattes, les cuisses bien écartées et le cul bien haut. J’enfonce des doigts dans ma chatte et un gros gode dans mon petit cul et je me fais jouir.


    10 minutes plus tard, j’entends ses pas. On frappe à la porte. Je ne peux répondre, je suis en train de jouir. Je gémis très fort.


    La porte s’ouvre. Il entre dans le vestibule, il ne peux me voir.


    — boudnou?

    — Ici JOUIBRULANCE…


    Il me voit dans la position que j’ai décrite plus haut.


    — Oh putain, la salope!!

    — Viens me défoncer JOUIBRULANCE!!

    — Je vais te faire ta fête espèce de petite cochonne!

    — Oh oui! Viens bouffer mon petit cul…


    Il s’approche de moi. J’accélère le mouvement des doigts dans ma chatte et du gode qui rempli mon cul.


    — Ton cul est magnifique… Tu es vraiment bien foutue tu sais. Ça m’excite de te voir comme ça.


    Il caresse mes fesses rondes et leur donne de petites claques.


    — Mmmm… ça m’excite ces claques. Vas-y plus fort.


    Suite bientôt...

     

    aucun commentaire
  • Accueil

    Bienvenue à toutes et à tous sur mon blog ! Si vous êtes fan de Miraculous : les Aventures de Ladybug et Chat Noir, ce blog est fait pour vous !

    Pour ne rien rater de l'actualité de Miraculous, suivez-moi sur :

    -Twitter :

    -Instagram :

    Abonnez-vous à ma chaîne YouTube :

    et inscrivez-vous à la newsletter du blog : M'inscrire

    Pour toute demande, contactez-moi par Twitter, Instagram ou adressez-vous ici : Contact

    Sur ce, bonne visite !

     


    ~Coucou tout le monde, c'est moi #Miraculous Ladybug
    ~Je me suis crée ce 2ème compte, car sa me sers et il y a plein de chose sur lesquels je ne voudrait pas faire de choses risquée pour mon compte principal.
    ~Désolé de ne pas suivre tout le monde ^^'
    ~Non,je ne me suis pas crée ce 2ème compte pour les abonnés
    ~Désolé Dia j'étais obligée de prendre ton a pour ce compte ^^'

     

     

    Physiquement, je suis jolie, j’ai un beau visage, j’ai de beau seins, pas démesurés, et juste rond comme il le faut ! J’ai un beau déhanché, on me dit souvent que « j’ai un beau cul », que j’aime mettre en valeur avec des mini-shorts ou des jeans très moulants De plus, je porte toujours de très hauts talons pour raffermir mes fesses.

    Je vais également vous décrire ma meilleure amie car je vais vous en parler dans cette histoire. Elle est aussi bien que moi ; jolie, beaux seins, belles fesses, elle a des des jolis yeux qui vont parfaitement avec ses cheveux... Elle ressemble un peu à ces magnifiques actrice que l’on voit dans les plus beaux films. Elle s’appelle Dia .

    On peut dire que nous sommes les deux « bonnasses » de l’école, que tous les garçons matent lorsque nos seins ballottent en gym, ou lorsqu’on court, expressément pour les exciter, lorsque nous marchons, avec un déhanché exagéré.

    Je vous parle de Dia, car un jour, nous avions cours de gymnastique. Lorsque nous étions en sous-vêtements dans les vestiaires,  Dia et moi aimions bien comparer nos formes « parfaites » à celles des autres filles.

    Mais ce jour là, cela faisait  quelques heures que je m’étais pas masturbé et que je n’avais pas eu de relations sexuelles, et je dois vous dire que j’étais en manque.là! maintenant. Sans m’en rendre compte, mes yeux louchaient sur les seins ronds, sous son soutien-gorge, de Dia, et sur ses belles fesses bien rebondies, dont seulement une petite partie était couverte de sa culotte. Nous traînions à nous habiller, et nous étions seules dans les vestiaires, toutes les deux en sous-vêtements. Je m’approchai d’elle, sans plus savoir me contrôler, et je l’embrassai à pleine bouche. C’était merveilleux, sans le savoir, j’attendais ce moment depuis bien trop longtemps. Sa langue, enduite de salive, tournoyait dans ma bouche, et la mienne faisait de même dans la sienne, essayant toutes les deux d’aller le plus loin possible dans nos gorges. Elle me plaqua contre un mur, m’effleura les seins et m’embrassa avec violence. J’aimais ce qu’elle me faisait,, c’était une sensations extraordinaire !

    Mais malheureusement, ce plaisir ne dura guère, car, entendant des bruits de pas, précipitamment, nous nous remîmes à nous habiller. C’était la prof de gym, assez furieuse, qui venait nous engueuler car nous traînions. Dia me fit un clin d’oeil en souriant, et s’habilla en vitesse. Nous ne nous reparlâmes pas durant la suite du cours, et dans les vestiaires, nous ne échangions, que de manière furtives des clins d’oeil et des sourires.

    Ce n’est qu’à la fin de la journée, lorsque nous descendions toutes les deux un escalier, que, sans pouvoir m’en empêcher, (j’avais vraiment trop envie), je la plaquai à mon tour contre un mur et me mit à l’embrasser sauvagement. Elle aimait ça, elle me prenait la mâchoire, et répondait à mes embrassades par de forts coups de langue. Les vestiaires des filles étaient à côté, et ils n’étaient pas encore fermés, alors nous poussâmes la porte, toujours avec nos lèvres collés et nos langues entrelacée l’une à l’autre. Nous commencions à nous déshabiller lorsqu’elle s’arrêta pour me dire que c’était vraiment trop risqué. Je la pris par la main, nos vestes sous les bras, et l’entraînai dans les toilettes, me dirigeai vers une cabine, et verrouillai la porte. Là, nous étions tranquilles.

    Nous continuions notre séance prématurément arrêtée et commençai à la déshabiller. D’abord je déboutonnai sa chemise, elle était en soutien-gorge en dentelle rouge. Cela mettait ses beau seins en valeurs. Ceux-ci était gonflés et avaient peine à tenir dans se soutien trop petit. Avec ma bouche, je le dégrafai pour laisser apparaître deux seins, beaux ronds, parfaits, lisse, gros, aux petits tétons que je suçai sans retenue. Elle gémissait et j’espérais dans mon fort intérieur que personne n’aurait envie de pisser maintenant. Mais en fait, je m’en foutais, c’était surtout cette sensation de risque qui me plaisait ! Je me mise de nouveau à l’embrasser, puis descendis jusqu’à son nombril, et déboutonnai son jean. Elle glissa vite sa main en dessous de ma chemise et pelota mes seins qui pointaient plus que jamais. Elle se releva, le pantalon déboutonné, et souleva ma chemise. Je mouillais grave, j’étais inondée, déjà proche de l’orgasme ! Nous avions de la chance que la cabine était vraiment très grande, cela pouvait laisser libre cours à nos gestes. Je voyais déjà que son pantalon était un peu humide et que sa mouille avait traversée sa culotte. Elle enleva mon tee-shirt et suça mes seins à travers mon soutien. Elle glissait sa main en dessous, les pelotait, jouait avec. Ensuite elle mit son entre-jambe au dessus de ma bouche. J’étais couchée sur le carrelage froid et elle était au dessus de moi. Je suçai sa chatte à travers son pantalon, et après avoir joué et gémis quelques temps, je fis glisser son pantalon, qui eut du mal à passer au niveau de ses fesses, tant elles étaient rebondies et fermes. Je passai ma main sous sa culotte, titillant son clitoris. Je sentais ses poils, au niveau du pubis, s’abaisser dans le sens de ma main qui commençait fort à exciter son clitoris gonflé. C’était totalement inondé la dessous, ma main, ainsi que sa culotte étaient trempés. Elle commençait à crier fort, gémissant à chaque que mes doigts l’effleurait. Ça sentait fort la mouille dans notre cabine, je n’en était pas incommodée, au contraire, j’aimais, j’adorais l’odeur de son sexe en chaleur, et apparemment elle aussi, vu les cris et obscénités qu’elle me lançait ; «  Oh, oui, vas-y, qu’est-ce-que j’aime ça, prend ma chatte, suce là, Oooh, OUI ! » J’agitais ma main dans sa culotte de dentelle rouge, et juste avant qu’elle n’ait son orgasme, je lâchai prise, et elle se calma peu à peu. J’enlevai sa culotte, pour voir ce que j’avais déjà deviné ; un pubis rasé, avec seulement une rangée de poils mal rangés plus ou moins large.

    Totalement excitée, elle me sauta dessus sauvagement. J’étais couchée sur le dos, elle posa son sexe contre le mien, et se s’étala sur moi. Elle prit mes seins, les secoua, déjà qu’ils étaient fort pointés, j’étais au comble de mon excitation. Je mouillais très fort, une grosse flaque se dessinait sur ma mini-jupe et elle continuait à m’exciter en léchant mes seins, suçant mes tétons.

    Elle se dirigea vite vers mon entre-jambe, enleva ma jupe, ne prit pas la peine de jouer avec ma culotte, et me l’enleva, découvrant mon pubis totalement rasé et mon clitoris menaçant d’exploser. Elle l’effleura, et je poussai un grand cris. Elle se mit à le secouer, à le lécher, à le sucer ; cette sensation était merveilleuse, j’étais aux ange. Puis sans prévenir, elle introduisit deux doigts dans mon vagin, puis trois, puis quatre, et je me mis à hurler !, qu’est-ce-que c’était bon, elle continuait à lécher et sucer mon clitoris et faisait des mouvements de vas-et-viens avec ses quatre doigts dans mon vagin. Ensuite, sans rien dire, avec son autre main, elle m’introduisit un doigt dans mon anus. Je n’avais jamais goûté à cet expérience, ni seule, ni avec un homme, et c’était le bonheur absolu. Elle me mit sur le ventre, lécha ses doigts au maximum, puis je vins ajouter une dose de salive dessus, et elle me lécha mon anus, y introduisit sa langue, et finit par y mettre deux doigts. Ses mouvements étaient de plus en plus rapide. Je criais, je hurlais de plaisir !

    Elle finit par s’arrêter et je continuai ce que je n’avais pu continuer ; je la mis sur le dos brutalement, écartai ses grandes lèvres, et j’y mis deux doigts, avec des vas-et-viens très rapides, tout en secouant son clitoris, je lui pénétrais mes doigts, allant ainsi jusqu’à quatre. Je pris alors ma culotte encore toute trempée, et la mis doucement dans son vagin. Je n’avais jamais testé cela, même pas en solitaire. C’était bon ! Ma mouille et la sienne se mélangeaient sur ma culotte introduise dans son vagin.

    Il me vint une idée. Océane m’avait dit un jour qu’elle avait toujours des godes dans son sac, pour quand elle était trop excitée durant les pauses. J’y pris un double gode, qui m’avait-elle dit n’avais jamais encore été baptisé. Je l’introduisit dans mon vagin, elle fit de même avec le sien, et nous nous empalâmes dessus, comme des folles, mais j’arrêtai cela brusquement pour poser mon sexe sur le sien, sentant ses poils s’écraser sous mon pubis, et, toutes les deux sur le côté, nous commencions à nous secouer nos pubis. Après quelques minutes bien trop courte à mon goût, nous eurent notre orgasmes, en même temps, explosant presque comme des femmes fontaines. Nous nous embrassâmes longuement, nos salives se mélangeant, et nous nous rhabillèrent, ma culotte pleine de deux mouilles différente. Je préférai ne pas la mettre !

    C’était ma première expérience lesbiennes, mais pas la dernière, en tout cas sûrement pas la dernière avec Dia !

     

    aucun commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique